Dans cette installation vidéo-son, nous interrogeons les notions de transitions et de limites.
Projetées sur trois panneaux distincts, les chorégraphies, écrites pour et par la vidéo, suivent les errances labyrinthiques de trois danseurs dans un univers clos, le métro lyonnais.
La découpe de ces trois écrans en split screen nous permet de dépasser les limites physiques du corps des danseurs, d'interroger le rapport du corps à l'espace fermé et de saturer le regard.
Le dispositif de projection qui mesure huit mètres sur deux, est enfermé dans une structure rectangulaire qui évoque l'univers du métro. Le but de cette installation est de placer le spectateur dans un cadre
qui le laisse en conscience de son propre corps, de l'interroger sur son rapport à la représentation, de l'amener à se questionner sur ses propres limites et sur les schémas comportementaux qui le conditionnent.

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